Après Noël, la galette

L'ÉDITO DE LA RÉDACTRICE - Et voilà, l’année 2022 vient de s’achever. Nous avons fêté Noël avec notre Église locale, en famille, entre amis… Ensuite, nous avons trinqué à la nouvelle année qui est arrivée si vite. Nous avons peut-être un peu trop festoyé durant une semaine, alors on prend la première résolution de l’année : « Je me mets au régime ! ».

Par Élisabeth Renaud

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C’est bien, mais c’est sans compter l’Épiphanie qui nous apporte ses galettes des rois ! Alors, on ajoute : « après ».

 

Mais au fait, pourquoi partage-t-on une galette le jour de l’Épiphanie qui est, je vous le rappelle, le 6 janvier ? Tirer les rois, on comprend à peu près, mais une galette ? Pour le savoir, je vous invite à lire cet article, « L’Épiphanie de la mythologie à la foi chrétienne » que Le Protestant de l’Ouest avait publié l’année dernière à cette même époque. Vous en apprendrez aussi un peu plus sur la représentation des rois mages qui a évolué au fil des siècles en lisant également cet article, «  Les rois sans couronne », paru sur ce même site en janvier 2021.

 

Souvent, tirer les rois s’accompagne des vœux. Alors, si nous ne mangeons pas de galette ensemble, mais je suis sûre que vous aurez l’occasion de le faire, je vous adresse mes meilleurs vœux pour l’année 2023. Qu’elle vous apporte ce qui vous tient à cœur et vous conduise vers des chemins de paix et sérénité.

 

 

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