Le printemps de Bourges protestant

VIDÉO. La paroisse de l'Église protestante de Bourges sort de quatre années de travaux et de réorganisation. Une aventure dont l’issue favorable n’était pas garantie, et qui a permis à la communauté de partager une véritable expérience spirituelle autour du verset : " Nous sommes le temple du Dieu vivant " (2 Corinthiens 6.16).

 

Par Élisabeth Renaud

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En juin 2018, la fermeture du temple est décidée car les murs de ce bâtiment du XIXe siècle s’écartent lentement et le plafond se met à peser dangereusement. Fort heureusement, les Berruyers ont leur salle paroissiale de la Chaume, à Asnières-lès-Bourges, fief protestant depuis 1556, à l’initiative de Calvin lui-même, qui avait fait un an d’études à Bourges. Les cultes vont y être transférés pendant quatre longues années. Au même moment, la pasteure, Angelika Krause, arrive en fin de mandat puis, moins d’un an plus tard, le Covid impose sa loi. Les difficultés s’accumulent pour cette paroisse.

 

Accomplir l’impossible

 

C’est un legs providentiel, explicitement affecté à l’entretien du temple, qui permettra de lancer les travaux de restauration. Et après quatre années sans pasteur, l’arrivée de Randy Greer, pasteur proposant, a coïncidé avec la réouverture du temple. L’inauguration s’est déroulée les 24, 25 et 26 mars grâce à l’implication de la communauté et de l’association Accolade*.

 

Retrouvez les aventures de la paroisse protestante de Bourges-Vierzon grâce à cette vidéo réalisée par Jean-François Baudet, chef de projet numérique de la région Ouest de l’Église protestante unie de France.

 

 

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    Conférence d'André Comte-Sponville, le vendredi soir

     

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      Conférence d'Emmanuelle Seyboldt, le dimanche après-midi

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        * Accolade, ça signifie quoi ?

         

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