Seigneur je ne puis que t’offrir ma nuit.
Je ne puis t’offrir que ma souffrance qui ne sera jamais l’égale de la tienne.
Mon cœur saigne en ton sacrifice rédempteur.
Ta parole est allée jusqu’au sang offert et de cela je n’en suis pas capable : pardonne.
J’ai soif de toi Seigneur sur les rebords d’une rivière où coulent les assassinés d’aujourd’hui.
Je ne sais que pleurer de mon âme blessée.
En écrivant ces quelques mots (expérience vraie) ma douleur s’estompe où tu me dis : « sois sans crainte ».
Ainsi donc Tu Aimes…
Alban