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Par Élisabeth Renaud
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L’espoir de jours meilleurs ne tient qu’à un fil : celui de la vaccination. Un espoir mis à mal par l’apparition de nouvelles souches de la Covid-19. Comme celle apparue en Inde où l’on observe, impuissants, une explosion des contaminations depuis une semaine. Lundi, la presse annonçait qu’une aide internationale allait se mettre en place et le lendemain on a pu lire dans les médias que Le Royaume-Uni et la France envoyaient des ventilateurs, des containers d’oxygène… Une belle solidarité qui éclaircit l’horizon d’une année aussi déprimante que la précédente.
Allons-nous nous en sortir ? L’espoir fait vivre, diraient certains, d’autres parleraient d’espérance, espérance que j’aimerais partager avec vous, en reprenant les paroles d’Emmanuelle Seybolt, présidente de l’Église protestante unie de France, dans son message de Pâques : « L’espérance est folle et se cogne souvent à la réalité dure et froide de la mort. Mais l’espérance se fraie toujours un nouveau chemin. Là où l’on ne voit qu’impasse, l’espérance trouve une issue. Là où l’on ne voit que mort, l’espérance fait germer la vie. Là où tout semble perdu, l’espérance voit le Salut. Là où le silence règne, l’espérance fait chanter la joie ».
Oui, portons l’espérance en nous et faisons-la rayonner.